L’ombre gigantesque de Poe

Nous nous étions quittés en décembre de l’an dernier, après une réjouissante participation aux rencontres de Sèvres et une mention du projet lovecraftien de l’ami Gilles Ménégaldo. Entretemps, la Covid et sa cape rouge à la Vincent Price est passée par là mais c’est avec le même Gilles Ménégaldo que nous sortons du silence, avec le bel ouvrage qu’il dirige, en compagnie de Jocelyn Dupont, Spectres de Poe dans la littérature et les arts et que Le Visage vert a le plaisir de publier en ce mois de novembre 2020.

Issu du colloque éponyme de 2017, ce beau volume convoque une vingtaine d’auteurs pour traiter de l’influence durable d’Edgar Allan Poe sur le monde des arts, en France et ailleurs. Ainsi Jérôme Dutel évoque-t-il Beardsley, Corben et Švankmajer, metteurs en image de la Maison Usher ; Pierre Jailloux se penche-t-il sur le Chat noir de Dario Argento, tandis que Nathalie Solomon aborde la lecture de Poe par Jules Verne et que Chloé Huvet et Éric Lysøe traquent les pistes musicales du Masque de la mort rouge (André Caplet) ou de l’obsédante Maison Usher (Claude Debussy) — entre autres disséminations.

Vous pouvez le commander sur le site du Visage vert et dans les meilleures librairies.

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